Les révoltes lycéennes du mois de décembre sont parties des villes moyennes et des territoires péri-urbains. La cartographie des mobilisations laisse apparaître une structure inédite, différente des schémas traditionnels des mouvements de jeunesse. Peut-on dès lors parler d’un réveil des enfants des gilets jaunes ? Des rapprochements entre lycéens et gilets jaunes ont été parfois observés en province. De là à parler d’une convergence des luttes, il n’y a qu’un pas…
↧